Votre CCR vous propose une visio-visite privée, en direct et gratuite, à la découverte des                              

Peintures des Grands Maîtres de la Renaissance Italienne
Musée Jacquemart-André - Paris.

Jeudi 8 avril 2021
de 14h00 à 15h00

Pendant toute la durée de votre visite virtuelle, Fiammeta, guide professionnelle et bien réelle, vous accompagnera et répondra à vos questions.

Pour vous inscrire, il vous suffit de répondre à ce message, au plus tard le 30 mars, en rappelant vos nom et prénom. Vous recevrez alors :

• avant le 1er avril une confirmation de votre inscription,
   
• après le 1er avril, le lien de connexion qui vous permettra de rejoindre la visite.

Pour des raisons de confort, le nombre de places est limité. Les demandes d'inscription seront enregistrées dans leur ordre d'arrivée. 

Vous trouverez plus de détails sur la visite en consultant la fiche d'information accessible en cliquant ICI.

La commission Animation-Loisirs du CCR MAIF propose le 

vendredi 18 septembre à 14h00 au Musée d'Agesci

une visite guidée de l'exposition temporaire Le Bijou Régional (cf ci-dessous).

Prix de la visite : 5,00 € 
Durée de la visite : 1 heure 

Inscription avant le 11 septembre auprès de Catherine Nivault :
06 22 36 38 39 ou cat.niv@orange.fr

Mesures sanitaires : masque obligatoire, gel hydro-alcoolique à disposition, distanciation physique, places en nombre limité.

Contexte de l'exposition :

Le bijou régional s'épanouit en France dans la seconde moitié du XIXe siècle. A Niort, de nombreux ateliers s'emparent de cette mode. Parmi ceux-ci, l'atelier Quantin qui deviendra l'atelier Bonamy et Levrier, puis l'atelier Fromantin à partir de 1925.

Alors que costume et bijou régional déclinent, cet atelier vivra quelques années encore de l'engouement pour les articles souvenir : vendetta corse, médailles du curé d'Ars, double-coeur vendéen... Le nom de Niort, et de ses orfèvres, resonne maintenant dans les salles des ventes comme un haut lieu de la fabrication du bijou traditionnel.

L'exposition s'appuie sur le fonds d'ethnologie régionale d'une exceptionnelle richesse conservé par les musées de Niort-Agglo. Elle montre la diversité de ces bijoux traditionnels, leur fonction, leur importance sur le costume et leur fabrication.

Modestes ou éclatants, indissociables des costumes sur lesquels ils sont portés, ils sont signes de reconnaissance, porteurs de charge symbolique ou encore messagers discrets. 

Quelques hardis retraités ont bravé la pluie et le vent ce 14 novembre pour suivre Agnès Brillatz le long de la Sèvre Niortaise au cœur du vieux Niort...

Le CCR avait programmé un rendez-vous avec cette guide au départ de l'usine du Pissot, où se trouvent les premiers ouvrages hydrauliques construits sur la rivière pour prélever de l'eau potable au plus près de la source du Vivier et la redistribuer à la population via le château d'eau érigé en face.

Le public n'entre pas souvent dans cette usine construite en 1822 sur les restes d'un ancien moulin et complétée en 1857 d'un second bâtiment.

Le plus surprenant se situe en l'air, dans son plafond de style art nouveau, protégeant cette machinerie imposante toujours entretenue. Les locaux sont plus souvent visités par le personnel, car c'est encore le repaire des agents techniques du service d'eau de la Ville !

Pour quitter cet abri et poursuivre la ballade, on a dû sortir parapluies, bonnets  et gants... ce qui fait qu'on a eu parfois du mal à bien écouter ce qui nous était raconté de manière bien illustrée pourtant...

Pour revoir le quai de la Regratterie occupé comme autrefois par les tanneurs, imaginer des ouvriers affairés aux séchoirs proches (recyclés aujourd'hui en logements modernes), compter les îles et les ponts émaillant les méandres de la Sèvre, repérer les passes à poissons dans les eaux bouillonnantes après les pluies, chercher les traces du Moulin du Milieu dont ne subsiste qu'un bief étroit en bordure du parking du même nom, retrouver les rives de la mer aux trois anciens ports de Niort, d'abord au pied du donjon cerné des murailles de la ville, puis place du Port et enfin devant Port Boinot...

Où Niort reconstruit maintenant de quoi faire revenir bientôt des bateaux pour naviguer de nouveau sur la Sèvre, vers l'Atlantique, en attendant que ce soit lui qui revienne, peut-être plus vite qu'on ne croit..., encouragé par le réchauffement climatique.

Dommage que la fine pluie glaciale ait perturbé cette intéressante incursion dans l'Histoire de la Sèvre et notre déambulation sur son cours !. On en redemande, sous un ciel bleu plus clément par exemple, ou dans un autre lieu, pourquoi pas cette Villa Rose près de La Brèche, réalisée autrefois par Bernard d'Agesci à la manière toscane, en cours de rénovation, que cette guide arpentait le lendemain avec un autre groupe... On irait bien nous aussi !...

On a vu un peu de l'or de Toutânkhamon avec le CCR...

Une bonne idée que cette journée à La Grande Halle de La Villette proposée par la commission Loisirs, même si les heures de transport pour rallier Paris dans la journée et revenir pouvaient rebuter...

Et nous étions une trentaine à tenter l'aventure ce jeudi 20 juin 2019. L'objectif était de voir dans l'après-midi une petite partie du trésor de ce mythique égyptien, Toutânkhamon, le grand pharaon mort à 19 ans, éternellement jeune ; mythique aussi le trésor découvert dans son tombeau il y a presque 100 ans, le 4 novembre 1922 : un amoncellement d'objets rares, 5398 répertoriés sur 10 ans, qu'on ne pourra pas voir en Égypte avant 2020 ou 2022, quand le musée en cours de construction sera ouvert près des pyramides ; en attendant, quelques uns voyagent et font escale à La Villette... Fallait pas rater ça !

C'est dans le car bleu des Chamois Niortais affrété par l'Absie Voyages que nous sommes partis pour la capitale, et il s'est révélé assez confortable pour nous faire oublier la longueur du parcours et nous permettre d'arriver à bon port à l'heure dite.                             

Entrée des fans de l’Égypte ancienne à 14h30 à La Villette pour se glisser dans la foule déjà présente mais bien échelonnée... On n'a pas eu à attendre pour admirer à loisir les 150 merveilles exposées là : son lit funéraire en bois doré, des coffres ouvragés, nombre de statues d'or, d'ébène, d'ivoire ou de calcite, divers parures et bijoux ciselés, dorés ou multicolores, mobilier ou vases, armes, amulettes,... ; déposés près de sa momie pour lui assurer un bon séjour dans l'au-delà... Les découvreurs avaient été émerveillés et nous avons compris pourquoi devant la sérénité des statues, la majesté de cet Horus en or par exemple, ou bien la richesse des bijoux, la finesse et les couleurs éclatantes de ces fabuleux objets, ou encore l'histoire qu'ils racontent... On en a pris plein les yeux !

Une courte évasion dans l'Égypte d'il y a 3 000 ans, mais assez d'images pour oublier le retour fastidieux vers la réalité niortaise...

Ci-dessous quelques photos de cette mémorable journée (cliquer dessus pour agrandir) :